Le mois de la bière qui touche à sa fin n’est pas qu’un prétexte festif, derrière chaque chope, c’est une micro-économie mondiale qui s’active : production, logistique, taxes, marketing et spéculation sur les matières premières comme l’orge ou le houblon.
Aux États-Unis, cette industrie pèse plus de 400 milliards de dollars et soutient près de 2,4 millions d’emplois. En Europe, Kronenbourg, Heineken et Carlsberg continuent d’exporter un savoir-faire, parfois plus rentable que certaines start-ups technologiques mais que vient faire la cryptographie là-dedans? Une question banale mais pleine de sens.
👉 D’abord, dans la traçabilité car les brasseries modernes expérimentent la blockchain pour garantir l’origine des ingrédients et authentifier les lots ce, en fonction d'un gage de transparence pour le consommateur.
👉 Ensuite, dans les paiements par le biais de plusieurs pubs américains et allemands qui acceptent désormais le $BTC , $ETH ,
voire des tokens locaux comme moyens de paiement.
👉 Enfin, dans les modèles économiques où les microbrasseries indépendantes lancent des beer tokens, levées de fonds communautaires tokenisées pour contourner les circuits bancaires traditionnels.
À l’instar de la fermentation, son jargon habituel, la finance décentralisée mieux DeFi suit un cycle naturel : le brassage pour l'innovation, la fermentation pour la maturation et la dégustation pour l'adoption.
Ainsi, chaque bulle qui monte rappelle une vérité économique car la valeur se crée là où les flux de bière et de capital circulent librement.
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📜 Verset socle : Ecclésiaste 9:7 – « Va, mange ton pain avec joie, et bois ton vin d’un cœur content. »
🖋️ Roger KILONGO SAMBU
Udiata yaku diata Kodi